In the time of king
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 Annabeth ○ La fine fleur anglaise

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Annabeth Rose of Bedford
Annabeth Rose of Bedford




Messages : 13
Date d'inscription : 03/02/2012

Mes petits secrets
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MessageSujet: Annabeth ○ La fine fleur anglaise   Annabeth ○ La fine fleur anglaise EmptyLun 6 Fév - 18:55



Annabeth Roseof Bedford


Annabeth ○ La fine fleur anglaise Nataliedormer10
    Je suis venu(e) au monde le 3 février 1498 à Glasgow et comme vous l'aurez donc deviner j'ai 25 ans. Je peux également vous dire que je suis célibataire et bisexuel par la même occasion. Que Dieu me préserve j'en suis fier. Bon sinon je suis issu(e) d'une classe sociale moyenne mais que voulez-vous, on ne choisit pas sa famille. Ah oui, sinon je suis duchesse of Bedford. Je fais parti(e) des Etrangers, et allez savoir pourquoi, mais il arrive que l'on me confonde souvent avec natalie dormer . Les gens sont vraiment prêts à n'importe quel mensonge ou bassesse d'esprit pour s'attirer les faveurs de certains.


tell me a story
tell me a story

Ils sont, vous êtes, nous sommes, il est, tu es et bien évidemment je suis. Je suis Annabeth Rose Bedford, fille d'un ambassadeur anglais et d'une comtesse française. J'ai en ce jour 25 ans et ma vie a été d'une complexité que j'en perds la tête. Toutes ces demoiselles qui disent avoir connu l'amour, le vrai, se font des illusions. Et les personnes qui assurent que leur coeur a bien était été brisé, ne sont que des plaintifs. J'ai connu le grand amour et j'ai eu la vie la plus mouvementée qu'une duchesse puisse avoir. Mais, remontons l'histoire, si vous le voulez bien pour que je vous explique en détail.

Je suis née à Glasgow le 3 février en l'an de grâce 1498, dans une grande maison aux décorations assez modestes. L'on pourrait croire que ma famille aurait pu être riche, mais seul l'argent de nos terres nous faisait vivre, nous n'étions pas pauvre loin de là, mais au-dessous des revenus de notre classe sociale respectif. Mes parents furent dessus de ma naissance étant donné que je n'étais pas un mâle qui aurait assuré la descendance et ce bonheur ne leur fut jamais accordé. Mon enfance fut comme toutes les autres, je reçus une éducation plus que convenable où j'appris le français, l'écriture, le latin et quelques notions de maths. J'étais loin d'être une enfant studieuse et modèle et je préférais aller me promener dans les forêts et me rouler dans la boue au lieu d'apprendre. Bref je me comportais comme une fille de servante comme me répétait ma mère ou encore comme un garçon était l'avis de ma nourrice. Ma nourrice parlons-en de ma nourrice, c'est elle qui m'a élevé et aimé à la place de ma mère. Celle-ci était tellement désespérée de ne pas pouvoir enfanter de fils qu'elle mit fin à ses jours lors de mes 14 ans. Je ne ressentis aucune peine à cette nouvelle, car je la considérais plus comme une simple connaissance que quelqu'un de ma famille. Cela peut vous paraitre cruel, ce que je comprends, mais je n'ai pas un coeur très tendre.

Je dois vous avouer, que je n'ai jamais cru aux princes charmants comme dans les livres de contes qu'on me lisait le soir. Je savais pertinemment que les hommes n'étaient en aucun cas fidèles et courtois, préférant violenter les jeunes femmes et faire l'amour à leurs maîtresses. Mon père en était le parfait exemple, ce lassant vite de ma mère à la beauté fade et sans éclats, je peux vous assurer que je le comprends. J'avais hérité des cheveux de ma mère, longs, bouclés et bruns. Mais pour tout le reste, je ressemblais traits pour traits à mon père. Il en était d'ailleurs fière, assurant que je me trouverais facilement un mari avec une beauté pareille, il avait tort. Cela n'était sûrement pas de sa faute, mais je n'osais penser que c'était de la mienne entièrement. Après tout je ne repoussais pas les hommes et je découvris bientôt les plaisirs de la chaire.

Ce fut en mai 1513, quand je fis mon entrée à la cour du roi Henry VIII. Beaucoup d'hommes me remarquèrent, je leurs souriais, mais restais assez distante. Le roi était un homme assez mince avec des cheveux châtains tirant parfois sur le roux, je dois avouer qu'il n'était pas si mal, mais la reine veillait sur lui et chacune de ses maitresse avaient droits à des remarques publiques. Je me plaisais beaucoup au château de Windsor et Londres me paraissait être une ville pleine de surprises. Je dus malheureusement m'habiller dans de belles robes en soie serrées par des corsets qui me coupaient la respiration. Je mis quelques mois à m'habituer à mes nouveaux atours. J'aurais pu encore dire que tout se passa dans le plus simple des mondes, que je devins duchesse grâce à mon intelligence et à mon franc parlé, mais non. En vérité cette année fut la plus importante de mon existence. Vous vous demandez sûrement pourquoi petits curieux ... Eh bien tout simplement j'y rencontrais le comte of Miller, un lointain cousin du roi dont la famille avait une immense fortune et toutes les jeunes donzelles lui couraient après, quoi de plus normal après tout ? C'était un très bel enfant de 12 ans, mais qui paraissait en avoir deux ans de plus. L'on ne peut pas dire que je l'ai remarqué tout de suite, étant trop occupée à me faire des relations féminines telles que la reine ou les soeurs du roi pour m'aider à gravir les échelons de la société et le trouvant beaucoup trop imbu de lui-même. A mes yeux se n'était qu'un enfant !

Mais quand le destin décide de s'acharner sur vous, il ne lâche rien. Je me rendis donc au bal donné par notre souverain pour Noël. Mon cadeau avait été une robe d'un blanc immaculé en soie où des diamants était cousus autour de mon décolleté. Mes manches tombaient au sol et traînaient avec ma traîne. L'on pouvait apercevoir ma chemise en fin coton. Oui, je peux affirmer à présent que j'étais d'une beauté stupéfiante, avec mes boucles tombant dans mon dos et ma toque blanche aux reflets argent. Oui, j'aurais pu être mariée au plus grand des rois dans cette tenue, mais à quoi vivre comme une reine si je ne pouvais pas vivre à ma guise ? Oui, c'était peut-être idiot à dire, mais le pouvoir ne m'intéressait pas encore à cette époque. L'on m'invita beaucoup à danser, je ne refusais aucune invitation, car j'étais ici pour m'amuser et non pas pour rester dans mon coin à cancaner. Puis se fut le tour à Alexander of Miller de m'inviter. Il était plus petit que moi de quelques centimètres, ce qui me fit sourire. J'aimais me moquer des gens, c'était un moyen très drôle de les critiquer. Il ne fit guère attention à ma mimique et me tendit sa main. Je l'acceptais avec grâce et nous entrâmes sur la piste de danse, les couples s'écartaient devant nous et certains chuchotaient à voix basse. L'on nous enviait ! Je n'arrivais pas à le croire et pourtant les gens nous regardaient avec envie. Les musicien jouèrent une volte, une danse de séduction. Je doutais fort que mon partenaire ai la force de me soulever et je commençais à m'inquiéter quelque peu. Heureusement, il y arriva avec une facilité déconcertante et nous continuâmes à danser en tapant dans nos mains et à tourner sur place. Je le fixais dans les yeux et il faisait de même.

- Alors, Mlle ...
-Annabeth
-Alors, Mlle Annabeth quel effet cela vous fait-il de danser avec un homme de sang royal ?

Je lui riais au nez.

- Mais rien du tout mon seigneur, je ne suis pas comme toutes ces jeunes filles qui se pâmes à vos pieds et exécutant vos moindres désir. J'ai une fierté, moi.

Il ne me répondit pas et semblait réfléchir à quelque chose. La soirée se finit fort tard et j'allais me coucher, les yeux brillant avec l'alcool que j'avais bu. Le lendemain je me réveillais avec un bouquet de rose sur ma table de nuit avec une lettre ou une écriture fine était inscrite. Je me levais, passais un coup de brosse dans mes cheveux et ouvrais enfin la lettre qui me mettait une boule au ventre. Qui avait bien pu m'envoyer ça ? Je la décachetais, les doigts tremblant et commençais à lire.Alors, comme ça Monsieur Alexander voulait me revoir ? Moi, une simple noble ? On avait forcément dût le torturer pour qu'il m'envoi une demande de cette sorte ! Néanmoins, j'acceptais. Aujourd'hui je me demande si tout avait été différent si j'avais refusé son invitation.

Une fois dans les jardins du château, je m'assis sur un banc et l'attendais avec impatiente. Pourquoi je n'en savais strictement rien, mais une fois qu'il arriva devant moi, il ne me laissa même pas le temps de m'incliner, sa main attrapa mon poignet et il me tira vers les arbres. Il me plaqua contre l'un deux et me regarda avec détermination. Je respirais fort et mordais mes lèvres avec inquiétude, qu'allait-il me faire ?

-Êtes-vous consentante ?

Mes sourcils se froncèrent. Consentante ? Mais de quoi ? Il n'attendit pas ma réponse, il m'embrassa à pleine bouche. Mes yeux s'ouvrirent en grands, mais finalement je n'essayais pas de me dégager. A quoi cela servirait-il ? Je devais avouer malgré moi que j'en avais très envie et au contraire je prolongeais son baiser. C'était stupide j'en conviens, mais après quinze ans passés dans ma campagne, je voulais savoir ce que c'était que l'amour.Nous rentrâmes dans ses appartements, ses valets disparurent à ma vue et je perdis a virginité avec l'homme dont mon coeur tomba amoureux quelques jours plus tard.

Sept ans plus tard l’amour était toujours là, nous étions toujours fous amoureux l’un de l’autre. Nous passions la plus part de nos nuits ensemble et la journée nous nous promenions dans les jardins ou allions chasser le gibier. Alexander et moi étions fiancés en secret et il comptait bientôt annoncer la grande nouvelle à son père et au Roi. Je nageais dans un bonheur constant et restais très possessive au niveau de mon amant. Que pouvait-il arriver de mal ? Eh bien cette catin de Katrina. Oui cette petite vipère d’une innocence écœurante. Elle rentra au service de Catherine d'Aragon et elle se fit vite apprécier par la reine qui aimait les jeunes demoiselles trop naïves et prudes pour accepter les avances du roi. Alexander annonça la nouvelle à son père, bien évidemment, mais celui-ci refusa expressément et trouva justement comme femme pour mon amant la duchesse de Mistelbach. J'en fus anéantie, il allait se marier avec elle et non moi. Bizarrement, je ne le en voulus pas, l'amour sûrement et surtout qu'il me répétait sans cesse qu'il n'aimait que moi et bien entendu je le croyais. Mais, ce qu'il ne savait pas, c'est que j'étais enceinte et quand il l'apprit il fut content, heureux et cetera, mais l'enfant que je portais ne verrait pas son père ou du moins il ne comprendra pas. Le mariage eu lieu le 22 août 1520 pendant que moi j'accouchais d'un petite fille nommée Elizabeth. Son père ne vint même pas me voir après la souffrance que j'avais endurée pour mettre au monde le fruit de notre amour, certainement trop occupé à boire avec ses amis. Les mois suivant furent une guerre déclarée entre moi et Katrina, je la rabaissais et elle me traitait de catin et elle n'avait pas tout à fait tort. Puis Alexander m'annonça qu'il ne m'aimait plus, qu'il ne fallait plus que l'on se voit. Je l'insultais de tous les noms, comment avait-il osé ! Décidée à ne plus voir ce couple qui insupportait tant, je partie pour la France.

Là-bas je connue les soeurs Boleyn et je devins même amie avec Anne. Une charmante jeune femme dont la soeur était la maitresse du roi, non officiel bien sûr. Nous parlions souvent Anglais toute deux et mon surnom devint Beth. Je fus moi aussi la maitresse du roi, mais pour un court temps. Nos nuits étaient très passionnelles, mais nous ne nous aimions pas ou plutôt comme de simples amis. A présent le roi me confit certains de ses secrets, conscient que je serais à son écoute. Et puis il est plus facile de parler à quelqu'un dont on connait peu de chose qu'à la femme ou l'homme qu'on aime. Louis de Villeneuve fit aussi irruption dans ma vie entant que confesseur au début puis meilleur ami ensuite. Il m'aida à élever Elizabeth comme sa propre fille et je lui en serais pour toujours reconnaissante. Je couchais aussi pour la première fois avec une femme. Trois ans se passèrent ainsi sans contraintes ni problèmes.

Je revis Alexander le 1 janvier 1523 pour le nouvel an. En le voyant je sus que j'étais toujours amoureuse de lui et ses sentiments étaient réciproques. Je redevins sa maîtresse officielle et à présent nous essayons de trouver un moyen pour nous marier car, d'un côté Katrina de ne lui donne pas d'enfant et d'autre part son amour pour moi semble frôler la folie ....

© fiche de liens faite par Brownie.


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